TFGA #15: L’article original où je fais le bilan de 2015

tfga15Après 2008 et 1934, c’est maintenant 2015 qui s’achève. C’est fou, quand même. En plus, cette année, c’était pas n’importe quoi: 2015 s’est vue dotée d’une durée exceptionnelle de 12 mois ! Je peux vous garantir qu’on s’en souviendra. Quand je serais Papy, mes petits-enfants me demanderont de raconter cette légende…

-Papy Galette, Papy Galette ! Tu peux nous raconter cette histoire avec 2015 ?
-Aaaah, 2015, répondrais-je avec un trémolo dans la voix, symbole de la sagesse et de l’expérience d’une vie passée. C’était la folie, vous savez…
-C’était bien cette année-là où tu avais racheté tous les blogs jeux vidéo du monde et asservi tous les blogueurs pour monter une armée dans le but de devenir le Roi du Kebab ?
-Nooon, mon enfant, tu confonds avec 2017 ! 2015, c’était l’année…
Je laisserai un petit blanc plein de mystère, me régalant du regard impatient de mes interlocuteurs…
-L’année qui dura 12 mois !
-Ouuuuaaah ! Ça c’est une sacré histoire, Papy ! Les copains à l’école me croiront jamais !

Et pourtant, c’est bel et bien la vérité. Une année de 12 mois, des mois remplis de sorties en tout genre dans l’univers vidéoludique. Du coup, en cette fin d’année, on se pose un peu et on fait le bilan sur tout ce qui est passé entre nos pads. Et c’est justement le thème du TFGA de ce mois de Décembre. Comme quoi, la vie est bien faite, quand même. Mais bon, comme je suis un rebelle je fuck l’autorité et je me permets de parler non pas de 5 jeux, mais de tout un tas de jeux que je diviserai en 5 catégories. Oui, j’arrange à ma sauce (algérienne, la meilleure). Qui êtes-vous pour me juger ?

J’aurais aimé les adorer

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Pillars of Eternity

Héritiers des RPG occidentaux de barbus, Pillars of Eternity n’est pas un mauvais jeu. Son univers et son écriture sont très intriguants et réussis, tandis que les possibilités de builds et de synergies entre les différents personnages et sorts sont intéressants et participent à la dimension tactique des combats. Seul problème: les combats, justement, sont longs et lourds (pas comme ma bite). On est obligé de macro-gérer chaque action de chaque personnage, et si l’IA permet, en théorie, de gérer des combats assez simples sans trop de problèmes, le friendly-fire couplé au pathfinding complètement aux fraises rend souvent l’opération laborieuse. Il ne sera pas rare d’avoir à enchaîner les pauses actives après chaque pas de tel ou tel personnage, afin de réussir (éventuellement) à le placer correctement pour pouvoir balancer un sort en toute sécurité. Les combats en intérieur sont le pire exemple de ces problèmes, et m’ont rendu fou à de nombreuses reprises. Si je n’ai rien contre la macro, elle est dans Pillars of Eternity souvent poussée à la limite du stupide, gâchant mon expérience du jeu. Ceci dit, je lui donnerais certainement une seconde chance, suite aux nombreuses mises à jour qui étaient sensées régler ces problèmes.

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Titan Souls

Avec sa DA pixel-art du plus bel effet, son OST qui claque et son gameplay audacieux et exigeant (boss-rush dans lequel on ne dispose que d’une seule flèche que l’on doit ramener à nous ou aller chercher après chaque tir, en sachant que chaque coup réussi (infligé ou reçu) garantit un one-shot), Titan Souls avait tout du jeu prometteur. Malheureusement, les différents boss représentent un intérêt bien trop inégal, et si certains affrontements sortent du lot, d’autres se révèlent bien trop aléatoire. Ajoutons à cela les passages d’exploration certes sympathiques mais pas très intéressants et une rejouabilité à l’intérêt quasi-nul (la principale difficulté des combats étant de trouver le point faible de l’ennemi), on obtient un jeu certes agréable, mais loin d’être aussi prenant et jouissif que je ne l’espérais.

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Fallout 4
J’en ai déjà parlé dans cet article, mais si j’apprécie la formule Bethesda, ce Fallout 4 marque pour moi le début d’une certaine lassitude. Certes, il y a l’aspect technique qui n’est franchement pas reluisant, surtout sur consoles. Mais encore, même si l’immersion en prend un coup on peut passer outre. Le vrai problème de Fallout 4, c’est qu’il a oublié d’être un RPG. L’écriture des quêtes et des dialogues bas du front condamnent le joueur à résoudre chaque situation en faisant parler les armes, nonobstant les statistiques de Charisme et d’Intelligence sensées permettre de jouer avec les dialogues pour s’en sortir. C’était certes déjà un peu le cas dans Skyrim, mais le 5ème épisode d’Elder Scrolls s’accrochait toujours à sa dimension RPG grâce à son système de levelling et la liberté de build, qui laissait place à l’expérimentation et au reroll. Si le jeu était rempli de combats, chaque combat offrait une certaine liberté d’approche que je ne retrouve pas dans Fallout 4. Si je ne suis ni motivé par les quêtes, écrites comme celles d’un MMORPG free-to-play coréen, ni par les combats bien trop répétitifs, que reste-t-il pour récompenser mon exploration ? Oui, le jeu affiche quelques panoramas réussis et des décors qui regorgent d’histoire. Oui, les terminaux à pirater sont, eux, très bien écrits, et récompensent leur lecteur avec des histoires ajoutant au lore du jeu et de l’univers. Si c’est déjà pas si mal, ça reste assez mince et loin de me rassurer quant à la direction que suit Bethesda.  Je commence déjà à craindre pour le prochain Elder Scrolls…

2015 était trop court alors j’y jouerai (sûrement) en 2016


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Cibele
Commencé en toute fin 2015, je n’ai pas pris le temps de m’y plonger pleinement. Et je compte très vite m’y mettre, car l’ambition du titre est originale et sans précédent: Cibele est un jeu racontant l’histoire d’amour que vit une jeune fille sur internet, via un jeu en ligne. Pour cela, on joue directement cette fille, non pas en contrôlant ce personnage, mais en contrôlant directement ses actions comme si nous étions à sa place: le jeu se déroule en effet sur l’ordinateur de Cibele, nous plaçant par là-même aux premières loges de cette romance. On aura en effet accès à des photos, des articles de blogs, des sessions de chat avec webcam, etc. Le jeu a même l’audace d’inclure des passages filmés, donnant encore plus d’impact et de personnalité à cette histoire. J’ai vraiment hâte de m’y plonger, quitte à finir en PLS avec le cœur en marmelade.

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Invisible Inc.

Accompagné d’un accueil critique unanime, l’arrivée d’Invisible Inc. sur PC s’est pourtant faite assez discrète. Mélangeant les genres de l’infiltration et du tactical avec des éléments rogue-like, Invisible Inc. se pare également d’une DA au charme indéniable. Sorti en début d’année, le jeu a refait parler de lui dernièrement avec l’arrivée d’une extension, et l’annonce d’un portage sur PS4/Vita. Je n’ai pas forcément de raison de ne pas y avoir joué en 2015, je ne devrais donc pas en avoir pour ne pas y jouer en 2016.

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Undertale

Non, je n’ai pas fini Undertale. Mais oui, je l’ai commencé. Et ce que j’en ai fait était très sympathique. Sauf que, fin d’année oblige, plus trop le temps de jouer et pouf nous voilà en 2016. Comme pour Cibele, il me suffira juste de prendre le temps, et plus je vois de personnes en parler, plus j’ai envie de m’y mettre. Et puis bon, c’est pas tous les jours qu’un développeur doit préciser que c’est pas grave si on aime pas son jeu.

Eux aussi, j’y jouerai (peut-être) en 2016: Until Dawn, Mad Max, Darkest Dungeon

J’ai passé 2015 à les attendre (et je les attends toujours)

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Children of Morta

Sorti d’une campagne Kickstarter réussie, Children of Morta est un Action-RPG prometteur en pixel-art super joli. Racontant l’histoire d’une famille survivant dans un monde envahit par les ténèbres, Children of Morta se démarque par son aspect visuel léché et ses promesses de gameplay fort aguicheuses: des combats dynamiques où chacun des personnages jouables (les membres de la famille) disposent d’aptitudes différentes. Avec son ambition de mélanger hack’n slash et rogue-like tout en mettant l’accent sur la narration, on a de quoi rester curieux. Pour ma part, l’univers et l’ambiance visuelle m’ayant déjà conquis je n’attends plus qu’un gameplay au minimum solide et efficace pour me perdre dans Children of Morta. Date de sortie toujours indéterminée.

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Firewatch

Là encore, c’est la sublime direction artistique qui aura attiré mon attention. Et pourtant, la grosse promesse du jeu est son écriture: avec l’un des auteurs de la saison 1 du The Walking Dead de Telltale au commandes, Firewatch met l’accent sur sa narration, l’écriture des dialogues et les choix (et conséquences) offerts au joueur. On incarne un garde forestier, chargé de garder une forêt (sans blague) avec pour seule compagnie un talkie-walkie nous mettant en relation avec notre supérieure hiérarchique. Les dialogues s’annoncent savoureux, dans un ton très naturel et détendu avant de partir vers une optique plus sombre à mesure que notre séjour devient de plus en plus mystérieux. Ajoutons à cela un soupçon d’exploration dans ce parc naturel du Wyoming aux couleurs chatoyantes, et Firewatch a tout pour offrir une expérience singulière et marquante. Sortie prévue sur PC, Mac, Linux et PS4 le 9 Février.

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Eitr

Si vous me suivez un peu sur Twitter, vous devez sûrement connaître Eitr. Parce que je suis comme une groupie à chaque bribe d’info ou d’image concernant ce jeu. Eitr, c’est un véritable coup de foudre: la direction artistique à base de pixel-art et d’effets de lumière et volumétriques donne un cachet visuel indéniable, et ajoutons à cela le gameplay reprenant les bases des Souls en les adaptant à la sauce hack’n slash, l’univers basé sur la mythologie nordique, les systèmes de levelling et de skills originaux et stratégiques, tout dans Eitr est là pour faire vibrer mon petit cœur. Chaque screenshot, chaque gif montré est un coup de cœur supplémentaire. D’ailleurs, le jeu bénéficie maintenant du soutien de Devolver, qui éditera le jeu sur PC et sur PS4. Pour les curieux, je vous invite à lire mon interview d’un des développeurs, réalisé juste avant l’E3 2015 et l’annonce du partenariat avec Devolver. Sortie prévue en 2016.

Eux aussi, je les ai attendu (et je les attends toujours): Death’s Gambit, Hyper Light Drifter, Kingdom Hearts III (que j’attendrais certainement encore longtemps)

J’y suis retourné en 2015

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League of Legends

Ouais, bon, ça fait plus de 3 ans que j’y joue et je suis pas prêt d’arrêter. Au-delà du jeu en lui-même, c’est surtout le fait de pouvoir retrouver tous ses potes et de jouer ensemble qui fait que j’y joue encore aussi régulièrement. J’y suis retourné en 2015, et j’y suis déjà retourné en 2016. Sûrement le jeu sur lequel je passe le plus de temps.

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Half-Life²

Si vous appréciez les FPS, vous avez certainement déjà fait Half-Life et Half-Life², deux chefs d’œuvre du genre qui auront chacun révolutionné le FPS à leur sortie. Et si j’ai relancé Half-Life² cette année, c’est grâce à un mod: Synergy. Ce mod permet de jouer à Half-Life² en coopération, et force est de constater que la campagne d’Half-Life² fonctionne incroyablement bien en coop. Les passages basés sur la physique sont toujours aussi grisants et offrent aussi de bonnes occasion de se marrer, tandis que les combats (dont la difficulté est ajustée en fonction du nombre de joueurs) offrent un challenge certain. Un excellent moyen de (re)découvrir ce jeu qui, 12 ans après, reste une référence d’un genre qui s’est un peu perdu.

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Tomb Raider Underworld

Avec Anniversay, Underworld est sans aucun doute le meilleur Tomb Raider sorti à ce jour. Le jeu est une véritable invitation au voyage avec ses temples majestueux, de Taiwan au Mexique, en passant par les côtes Méditerranéennes. Signalons d’ailleurs la présence de niveaux sous-marins étonnement réussis, synthétisant parfaitement les sentiments d’immensité, de danger et d’exploration si propres à la série. Un vrai coup de cœur personnel dans lequel je me replonge toujours avec plaisir, d’autant qu’il se permet d’être encore aujourd’hui très joli. C’est à mon sens l’épisode de Tomb Raider qui capture le mieux l’essence de la série, avant que celle-ci ne change de direction avec le reboot de 2013.

J’y suis aussi retourné en 2015: Skyrim (même si j’ai du passer plus de temps à le modder qu’à vraiment y jouer), Silent Hill 2 (c’est toujours le meilleur jeu du monde), Bioshock Infinite (c’était bien mieux la première fois)

Mes coups de cœur

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Her Story

J’en ai déjà parlé sur ce blog (entre autres), mon test sur Gamerside en témoigne, Her Story est un véritable bijou. Je ne sais pas trop quoi dire de plus ici, je ne ferais que paraphraser tout ce que j’ai pu dire sur ce jeu. Pour résumer: ça vous prendra une soirée et ça vous retournera le cerveau. Et ça coûte moins cher qu’un kebab.

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The Witcher 3

Deuxième chef d’œuvre de l’année, The Witcher 3 m’aura fait vibrer et tenu en haleine pendant plus d’une cinquantaine d’heures. Chacune de ces heures était un plaisir pur, que ce soit le simple bonheur de se promener dans de sublimes paysages, la satisfaction de voir ses décisions avoir un véritable impact sur le monde et le déroulement du jeu, ou bien l’excitation de mener à bien les quêtes de sorceleur se soldant par des combats de boss épiques. Comme si ça ne suffisait pas, le tout est enrobé dans une direction artistique irréprochable et une OST pleine de personnalité qui participe grandement à l’ambiance.
Et puis, il y a Triss Merigold.

Ces deux jeux sont mes deux seuls vrais coups de cœur de l’année, ceux dont je me souviendrais encore longtemps. Des jeux qui marquent, profondément, et qui ne me quitteront jamais. Des véritables chefs d’œuvre. Cependant, il y a d’autres jeux qui méritent d’être mentionnés, car s’ils ne m’ont pas marqué aussi profondément que The Witcher 3 ou Her Story, ce sont tout de même des jeux fabuleux qui resteront dans ma mémoire:

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Rocket League

Suite d’un jeu sorti sur PS3 au titre tellement long que j’ai la flemme d’aller le chercher sur Google, Rocket League est la quintessence du fun et de la formule « facile à comprendre, difficile à maitriser ». Et puis c’est un jeu intelligent qui reconnait que je suis meilleur que Cinemax, si ça c’est pas merveilleux.

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The Beginner’s Guide

Un jeu autobiographique qui parle des troubles personnels d’un créateur, que ce soit dans son processus créatif ou dans la manière dont la création peut prendre le dessus sur lui-même. Très juste dans le fond, avec un traitement dans la forme original et qui sert de façon pertinente son propos, The Beginner’s Guide est un jeu singulier qui a beaucoup de choses à dire. Il ne parlera peut-être pas à tout le monde mais si vous acceptez de l’écouter, vous en sortirez remué. Je l’avoue sans honte, j’ai eu les yeux humides.

Salut Michel, et à bientôt !

Bloodborne
Nerveux et jouissif, Bloodborne est un vrai plaisir à parcourir. Grâce à une direction artistique sublime et un level design d’une rare ingéniosité, Bloodborne confirme le savoir-faire des papas de la série des Souls (j’en parle , aussi). Un jeu de pur gameplay, avec une méthode de narration propre au jeux de From Software qui m’a personnellement un peu laissée de marbre.

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Divinity Original Sin: Enhanced Edition

Mon coup de cœur de 2014 est revenu en 2015, dans une édition « encore plus mieux ». Corrigeant le gros des défauts de la version Vanilla, cette édition Enhanced marque aussi l’arrivée du jeu sur console avec un mode multijoueur en local canapé. On joue toujours avec les éléments (eau, feu, poison, fumée, etc) lors de combats tactiques, où l’expérimentation amène parfois de belles surprises. Le système de combat le plus riche dans un C-RPG, et aussi le plus jouissif.

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Jotun

S’il n’est pas exempt de défaut, le petit bébé de Thunder Lotus Game dispose d’un charme indéniable. Entre son identité visuelle, entièrement dessinée et animée à la main, ses musiques épiques et ses bossfights impressionnants, Jotun a des arguments pour séduire. Si ses passages d’exploration pêchent un peu, Jotun reste un excellent jeu et un bien meilleur bossrush que Titan Souls. Pour les curieux, je vous invite à jeter un coup d’œil à mon test, où je pale plus en détail des forces (et faiblesses) de Jotun.

Bon. Si vous avez tout lu, vous êtes vraiment mes héros. J’en profite pour m’excuser d’avoir transgressé la règle, mais je tenais à parler de chacun des jeux mentionnés dans cet article, et faire un article bilan avec une sélection étriquée de 5 jeux n’aurait pas fait honneur à cette folle année qu’était 2015. Et puis je fais ce que je veux, après tout. C’est mon blog, vous ne m’enlèverez pas ma liberté de penser. Et comme je suis un connard, je vous laisse ici, avec cette chanson de Florent Pagny dans la tête.
Cordialement,
Bisous. 

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9 réponses à “TFGA #15: L’article original où je fais le bilan de 2015

  1. Encore un article super drôle ! Lorsque tu dis « pas comme ma bite » ahaha ou quand tu dis que tu es meilleur que moi à Rocket League AHAHAHAH.
    Fdp de tes morts, va.
    Bisous.

    PS : tu as éveillé ma curiosité sur Cibele.

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  2. Tu triches, il y a bien plus de 5 jeux.

    Cela étant, je m’attendais en voyant ta catégorie « attentes » à y trouver « No Man’s Sky », d’autant qu’on en parlait hier. Tu ne l’attends pas tant que ça alors ou c’est juste parce que l’on sait pertinemment que c’est une belle arlésienne des familles ?

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  3. Classe. Très classe. Même un peu trop. On en viendrais presque à croire que le skill n’est pas l’argument principal pour apprécier le jeu vidéo, à voir la variété de tes éloges dans ce bilan.
    Espérons que 2016 sera un aussi bon cru donc.

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  4. Pingback: Alex Effect » TFGA n°15 – Les jeux de votre 2015·

  5. Quelle rétrospective de l’année, je remarque je n’aurais pas ton courage à tester de tout dans le JV. Des ovnis comme Cibèle ou Her Story ne m’attire pas du tout par contre, même si à force d’en entendre parler, notamment sur le style d’écriture, ça intrigue 🙂

    Pas étonné sinon de voir figurer Bloodborne et The Witcher 3, connaissant ton amour pour ces jeux. Et d’ailleurs, merci pour la piqûre de rappel sur Divinity Original Sin, je me dis depuis quelques mois qu’il faudrait que je le chope pour jouer en duo avec Madame sur PS4. C’est si rare qu’il serait con de passer à côté …

    Aimé par 1 personne

    • Je peux comprendre ton avis sur ces jeux plus narratifs, qui n’offrent pas forcément de grands moments de gameplay. Mais leur intérêt vient justement que la gameplay est là pour être au service de l’écriture. Je trouve ça super cool que des créateurs se cassent la tête pour trouver comment utiliser le jeu vidéo pour raconter des histoires, autrement qu’avec des cinématiques qui n’ont rien de « jeu ». ‘fin bref, j’en ai déjà assez parlé je pense :p

      Et oui, pour Divinity, vous pouvez y aller les yeux fermés. Même s’il peut être un peu complexe à appréhender, ça reste une super expérience à partager 🙂

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